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Psychologie

Une description psychologique ? Drôle de demande à mettre sur mon Curriculum Vitae. Bon, si c'est la règle, je m'y soumets volontiers. Que dire, que dire ... Je considère ma psychologie comme tout à fait normale pour un sorcier. Je suis une personne généralement calme, quelques fois assez exalté, plutôt motivé dans mon travail et surtout dans mes passions. Parlons en de mes passions, ou plutôt de MA grande passion, c'est à dire les livres! Que je les aimes c'est fou! Je pense même préféré tous ces mots imprimer sur leur magnifique papier que les personnes réelles. Cela ne fait pas de moi un associal pour autant! Je suis même plutôt ouvert à la discussion, on m'a souvent dit que j'avais la langue bien pendu sans doute un trait de famille me direz-vous! Je suis donc d'une assez agréable compagnie. Pourtant on à tendance à oublier ma présence, un peu comme si j'étais aussi visible que de l'air! Ce n'est pas comme si j'étais discret volontairement, je suis comme cela, c'est tout! Vous devez sans doute penser que je ne suis pas très stable mentalement pour vous dire blanc puis ensuite vous dire noir! Mais ce n'est pourtant pas le cas, je suis juste une personne compliqué, comme beaucoup de personne j'imagine!

Je ne peux trouver une véritable sérénité, une pure quiétude, qu'en étant entouré de livre. Pour moi, voir une étagère remplit de nombreux ouvrages me met en joie! Et me rend aussi un peu curieux de voir ce qu'elle peut contenir... Vous aurez donc compris que pour moi les bibliothèques sont comme des temples sacrés! Non... Permettez-moi de préciser ma penser. Les bibliothèques ne sont pas comme, elles sont des temples sacrés! De magnifiques temples emplit à la fois de savoir et d'aventure, de romance, comme d'horreur, d'informations allant de l'inutiles au très utiles! Si vous cherchez quelques choses, je suis persuadé que vous la trouverez dans un livre. En suivant cette explication, vous comprendrez donc que pour moi les livres sont intouchables! Je ne supporte pas la vue d'un livre délaissé et plein de poussière, cela me déprime, surtout pour l'ouvrage! Encore pire, je ne supporte pas la profanation ou la destruction de livre, et par conséquent des lieux les abritant, pour moi il s'agit là d'un crime innommable! Pire qu'un viol! Pire qu'un meurtre! Pire qu'un acte terroriste! Enfin vous m'avez compris. En tant que bibliothécaire, je ferai mon possible pour être le gardien de tous ces ouvrages et d'assurer qu'on leur offre le respect qu'il mérite sous peine de sanction! Parlant de sanction, je suis un être calme à l'origine, mais comme tout personne vivante j'ai mes limites! Et il ne vaut mieux pas que je les atteignes sous peine de devenir ... Disons ... Légèrement extrémiste... Voir ... Incontrôlable, je l'avoue!

Ah sinon, pour finir, une dernière chose. J'ai un allergie aux chats, enfin au félin en générale. Pourquoi je vous dis cela dans la partie psychologie ? Mais voyons, c'est évident! Les félidés sont des êtres démoniaques, le mal est dans leur yeux cela se voit. De plus, entre vous et moi ... Je trouve ces petites bêtes terrifiantes! Je ne comprend pas du tout les personnes pouvant les trouver mignons, ce sont des monstres ! Par ailleurs le proverbe : Le chien est le meilleur ami de l'Homme ; n'a pas été inventé pour rien!

Physique

Ah maintenant on passe au physique ? Sérieusement ? C'est un entretien pour le travail de bibliothécaire ou pour devenir mannequin ? Bon d'accord je me tait et j'exécute.

Alors comme ça ce voit je possède un teint de peau très pale. Ce n'est pas que j'évite le soleil ou que j'ai une peau fragile, non. C'est juste que je ne bronze pas. Un peu comme si l'ami Soleil n'avait pas envie de me brûler la peau et je l'en remercie tout les jours pour cela! Ensuite, j'ai la chance d'avoir hérité de très beaux yeux bleus qui ont fait la fierté de ma famille de génération en génération ! De plus avec mes cheveux blond pale, j'ai une allure de nordique. Si on remonte ma généalogie, peut-être ai-je des ancêtres nordique, allez savoir! Oui je m'éloigne du sujet, désolé.

Question taille, je suis plutôt assez grand. Je pense avoir dépassé le mètre soixante-quinze et je pense même avoisiné le mètre quatre-vingt! Il faut bien dire qu'a force d'essayer d'atteindre les livres placer tout en haut des étagères depuis que je suis tout petit m'a peut-être aider à grandir plus vite, ou tout du moins à allongé ma silhouette. Parlant de ma silhouette, je suis assez svelte pour un homme, sans être rachitique, voir squelettique ! Je me nourris très bien mais ma magie consomme beaucoup d'énergie, ce qui doit forcément affluer sur mon corps, sinon je serai peut-être obèse à l'heure où je vous parle!

Ai-je des tatouages ? Drôles de question! Toutefois vous faites bien de la posé car j'ai un pentacle tatouer entre mes deux omoplates, à la naissance de la nuque et à la fin de la colonne vertébrale, il se cache assez facilement quand je suis habillé, mais nu ... Enfin vous verrez, si vous avez de la chance!

Puisque j'ai parler d'habillement, vous voulez que je vous parle de mon style vestimentaire ? Et bien je ne suis pas très extravagant, j'aime être à l'aise dans mes vêtements et par conséquent je porte souvent des chemises sans rien en dessous, je trouve le contact sur ma peau très agréable et j'en fais la collection pour tout vous dire! Ensuite, il suffit de quelques paires de jeans et voilà le travail ! Ah et pour finir, comme vous pouvez le voir je porte des lunettes car je suis complètement myope! Et oui même les sorciers ont des problèmes ophtalmique !

Storyline

Le souvenir le plus anciens que j'ai, c'est celui d'une histoire. Une histoire que me raconter un homme pour endormir. C'était ...

"L'Histoire du magicien Taliésin date des temps anciens oû se cotoyaient l'humanité et le fantastique. Aux temps des druides, des magiciens, des chevaliers et de créatures mythiques.  Tout à commencer en Pennlyn, alors que Tegid Voel le Chauve en était le seigneur. Il était marié à Kerridwen, célèbre de sa grande connaissance des choses hermétiques. Trois enfants étaient nés de cette union : Creirwy, une des plus belles enfants qui soient; Morvran, un des plus laids qui soient et Afang Du, le jeune homme le moins favorisé du monde. Afin d’aider ce dernier à devenir un grand homme, elle conçu un jour pour lui un chaudron de connaissance et d’inspiration dont elle connaissait tous les éléments. Ce chaudron devait bouillir une année complète et donner trois gouttes grâce auxquelles Afang Du serait illuminé. Pour mener à bien son projet, elle désigna deux hommes pour surveiller le liquide et entretenir le feu : un vieil aveugle du nom de Mordra et un jeune homme du nom de Gwyon Bach."

Dans ce souvenir d'enfance je me rappelais voir se dessiner les personnages de l'histoire, des sortes d'apparitions magiques et miniatures vivaient devant mes yeux tandis que la voix du narrateur contait l'histoire.

"Ainsi l’année s’écoula jusqu’au dernier jour, alors que Kerridwen était absente. Le jeune Gwyon, qui avait passé une très mauvaise nuit, vint à s’endormir dans son quart, et tandis qu’il sombrait dans l’inconscience, le chaudron se mit à bouillir. Trois gouttes brûlantes furent alors éjectées du chaudron jusqu’au doigt de Gwyon qui, sur le coup, le porta à sa bouche. Ces gouttes n’étaient nulles autres que celles destinées à Afang Du, porteuses de connaissance et d’inspiration. Comprenant aussitôt que la colère de Kerridwen pourrait lui être fatale, Gwyon Bach prit la fuite sans plus attendre. Il ne put aller bien loin que Kerridwen l’avait déjà pris en chasse avec le désir de le réduire à néant. S’ensuivit une course folle où, voyant le fugitif prendre forme d’un lièvre, Kerridwen se transforma en chien. Arrivant près d’un cours d’eau, Gwyon se transforma en poisson que la sorcière pourchassa en loutre. Le poisson devint oiseau, la loutre se fit faucon, puis, apercevant des grains sur le sol, le jeune homme prit forme d’un grain de blé et s’y camoufla. La sorcière, futée, se métamorphosa en poule noire et avala le fautif.
Seulement l’ingestion n’eut pas l’effet escompté. Après quelques mois, Kerridwen s’aperçut qu’elle était grosse. Elle attendait un enfant? Son mari était parti depuis longtemps combattre les pirates Gaëls et établir des fortifications le long des côtes, aussi elle comprit immédiatement ce qui lui était arrivé. Cet enfant ne pouvait être que le jeune Gwyon qui demandait une deuxième naissance. Lorsque Kerridwen accoucha, se fut avec le désir de tuer l’enfant. Mais le poupon naquit si beau qu’elle n’eut le cœur d’aller au bout de son reste. Kerridwen lui construisit une sorte de couffin de jonc et le confia à la bienfaisance des eaux d’une rivière qui, loin de là, allait mélanger ses eaux à celles de l’océan. Taliésin le magicien naquit."

Devant mes yeux je voyais le personnage miniature de la sorcière poursuivre le pauvre homme, je les voyais changeait d'apparance à volonté. Je vis la femme de la légende et son ventre rond, puis l'enfant et son abandon. Le couffin s'éloignait dans les airs avant de disparaitre comme la poussière traversant la lumière lors d'une légère brise. Je me souvenais que j'adorais les histoires qu'il me racontait. Je me souviens du sourire qui éblouissait mon visage quand je regardais cette homme. Mon grand père.
Il s'agit d'un de mes seuls souvenirs de lui, il est mort durant mon enfance ce qui fait que je n'ai que de rare réminiscences à son propos. C'est surtout ma grand-mère qui me parla de lui longtemps après sa disparition.

Il est aisé de deviner que je n'ai pas connu mes parents, ou du moins pas très longtemps. Tout ce que je sais d'eux, c'est que ma mère était l'enfant de mes grands parents et que mon père faisaient partie d'un clan opposé aux notre de part sa pratique de la magie noir. Il s'agissait du clan Woodbane, qui signifie littéralement : le Poison des Bois. D'après les histoire que j'ai entendu sur ce clan, ils se sont consacrer aux arts obscures de la sorcellerie et vivait reculaient dans les montagnes du pays du Galles, loin des forêts d'ou ils avaient été jadis bannis. Quant à la famille de ma mère, c'est une autre histoire. Ma mère était une Taliésin, oui comme le nom du magicien de la légende que me racontait mon grand père. Cette partie de ma famille fait partie de sa descendance direct et sont à la tête du clan depuis sa création par Taliésin en personne. Ce que la légende ne raconte pas c'est que Gwyon Bach, devenu Taliésin après sa renaissance dans les entrailles de la sorcière Kerridwen, n'était pas destiné à être magicien. Son pouvoir ainsi que sa renaissance ne sont qu'une erreur, sa dernière en tant qu'humain. De part cette filiation impies, le clan de ma famille dû se cachaient pour prospéré. Les premiers Taliésin disparurent dans une forêt qui s'évapora avec eux.

Et c'est dans cette forêt que je vis, bien des siècles après. Un lieu invisible et imperceptible pour les humains, dans lequel le clan de ma famille à pu s’agrandir de part les siècles et de par son métissage avec d'autres sorciers d'autre clan.

Malgré le nom de mon père et la réputation de son clan, je n'y vécu pas en paria. En effet ma seconde parenté était celle du fondateur de cette ville-forêt qui servait d'abris aux sorcières et sorciers du pays, pour une bonne partie. J'appris donc les arts de mon clan : De mon initiation, datant de mon enfance, jusqu'à aujourd'hui. Pour les sorciers de ma famille, l'apprentissage ne s'arrête jamais. Tout ne sera jamais découverts, néanmoins les Tialésin ont une curiosité naturel pour le monde de la magie qui leur à parmi au fil des ans, d'accumuler le savoir. C'était le devoir de mon grand père que d'être le Gardien de ce savoir ancestrale, c'était le rôle de son père avant lui et cela était ainsi depuis des générations. Sauf dans le cas le plus récent de ma mère, qui a rejetait cette tâche pour partir avec le père que je n'ai jamais connu. En toute logique j'aurai du être le prochain. Mais mon jeune âge, à l'époque, ne me le permettait pas. Ma grand mère prit donc la tache de protéger le savoir des anciens pendant que je m'épanouissais et découvrait mes dons au fur et à mesure que je grandissais.

Je me découvrais bien vite une passion pour la lecture et les livres. Vivant seul avec ma grand mère et tout les livres, grimoires et manuscrits que mon grand-père et ces ancêtres avaient pu amasser. Tous ne parlait pas forcément de sorcellerie ou de l'art magique, certains provenaient de l'extérieur et ils faisaient partie de mes préférées. En fonction des années qui passaient, ma chambre se remplissaient de livres divers et variés. Mon avancées dans le monde la magie se faisait normalement, comme pour tous les jeunes de la ville-forêt. Nous avions chacun nos spécialités. Les miennes se représentaient surtout via les enchantements, sortilèges et autres potions, je connaissais aussi très bien les propriétés des pierres. Ma grand-mère était soulager de voir que je n'avais aucun don, ni intérêt pour les arts obscures comme mon père. Je n'avais pas non plus cette inclinaison pour la divination qu'avait ma mère. Étrangement, je cumulais des dons qui ressemblaient beaucoup à ceux de mon grand père. Mais je ne me doutais pas encore que j'avais un pouvoir différent qui sommeillaient en moi, un pouvoir qui me venaient de ma lignée.

Comme j'ai pu le dire précédemment, j'aimais beaucoup lire. Ce qui faisaient que je n'étais pas du genre très "sociable". Je m'intégrés parmi les jeunes, j'avais des amis oui, mais il m'arrivait souvent de ne pas sortir de chez moi, de mon antre, car je préférais lire au calme. A l'époque, j'étais toujours dans l'adolescence, mais je me rapprochais inexorablement de l'age adulte. Je n'étais plus un enfant et pas encore un adulte. Et c'est dans un moment de calme et de lecture comme ceux-ci que je découvrais le don qui était transmis aux mâles de ma famille de génération en génération. Je m'en souviens parfaitement; j'étais en train de lire un roman fantastique. Même si je vis en plein fantastique, j'aimais beaucoup ce genre de lecture qui offrait un éventail de monde différents les un des autres. Pour je ne sais quel raison, je me mis à lire une description d'un lieu enchanteur décrit sur le papier et tandis que ma voix se perdait en écho durant ma lecture, je ne voyais pas ce qui se passaient autour de moi mais tandis que de ma voix je relisais la description d'un marais où des centaines de fées y voletaient en harmonie, je ne voyais pas qu'autour de moi le décor changeaient pour correspondre à mes mots. C'est alors que ma concentration fut défaite par la voix de ma grand mère m’appelant. Je sortis de ma lecture et posa un pied sur le sol ferme de ma chambre, mais je m'enfonçais, comme dans les eaux boueuses d'un marais. Autour de moi des centaines de petites lucioles riaient d'une voix cristalline. Sur l'instant je ne comprenais pas ce qui m'arrivaient, je devais avoir lu de trop... L'instant d'après la réalité reprit ces droits en un clignement d’œil. Je devenais peut-être fou.

La même chose m'arriva quelques temps plus tard. Etant le bibliophile du village, il m'arrivait de lire des contes aux plus jeunes enfants. Nous vivions dans une forêts, alors une de mes histoires préférés étaient celle du chaperon rouge. Lorsque je lu le passage descriptif du loup, je ne fus pas le seul cette fois-ci à contempler son apparition sous les yeux de tous. Il disparu au bout de quelques secondes. Mais cela suffit à attirait tout les regards sur moi et toute les interrogations que je me posais en silence, parvenèrent à mes oreilles. Je rentrais alors chez moi le plus vite que je pu, afin de poser des questions à ma grand-mère. Si quelqu'un pouvait savoir quelques choses, ce ne pouvait être qu'elle. C'est ainsi que j'appris que j'avais des dons bien spéciaux et qui n'appartenait qu'aux descendants hommes de la famille Taliésin. J'avais respectivement le don du langage magique et de l'écriture magique. Après ces révélations ma grand-mère me conseilla de partir ailleurs, d'exerces mes dons uniques et de ne revenir que lorsque j'aurai leur maitrise, comme mon grand-père l'avait jadis fais avant moi.

C'est donc comme cela que je me suis retrouvé bibliothécaire dans la ville capitale de mon pays, Cardiff. Je ne lisais plus à voix haute et je prenais garde à ce que j'écrivais et comment. Lors de mon voyage entre ma ville et Cardif, les paroles de ma grand mère m'avait guider.


C'est ainsi que je découvris le pouvoir tentateur de l'écriture magique. Bien que mes dons, à l'époque, ne s'étendaient que sur quelques secondes, les mots que j'écrivais devenaient réalité. Cela ne m'apporta pas que du bon dans ma vie parmi les humains. Je communiquais par lettre avec ma grand-mère, un moyen dit archaïques par les humains et leur technologie, mais je l'appréciais, elle eut vent de tout mes déboires et me dit qu'avec de la chance elle aurait une solution à me proposer. Quelques jours plus tard, une étrange lettre cacheter arriva chez moi. Une lettre d'une école dont je n'avais encore jamais entendu le nom et d'un pays qui m'était inconnu. Y avait-il vraiment un pays se prénommant Merveilles ? En tout cas si j'acceptais la proposition je deviendrai bibliothécaire scolaires ... Je venais récemment de rompre avec mon petit-ami de l'époque et je gardais les lettres de ma grand mère en mémoire. Peut-être était-ce une aide qu'elle m'avait envoyer ? Ce n'était qu'une possibilité, ou alors j'avais vraiment été repéré par l’émetteur de la lettre. En tout cas, mes bagages prêt, j'alla au premier arrêt de bus que je trouvais et y prit un étrange bus qui me conduisait à Merveille...

Pouvoirs

Sorcellerie du clan Taliésin : Sgath est capable d'utiliser la magie surtout pour lancer des sortilèges et des enchantements, il possède aussi une bonne connaissance des pierres et des plantes ce qui fait qu'il se débrouillent bien dans la fabrication de potions et autres filtres.

Langage magique : Sgath est capable de rendre réel ce qu'il lit, à haute voix. Ce pouvoir ne durent que quelques minutes avant de faire disparaître ce qui est apparut, comme si il ne s'agissait que d'une vision.

Ecriture magique : Sgath est capable de rendre réel ce qu'il écrit. Il le peut seulement en utilisant un stylo de bois qu'il à lui même tailler dans une branche de Lilas et en se servant d'un encre dans laquelle il aura verser au préalable une goute de son sang.

Sorcellerie des Woodbanes : A venir plus tard ( Si l'occasion se présente dans le rp, j'aimerai bien que mon personnage puissent débloquer les pouvoirs de magie noires dont il à hériter.)

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