Elrick Leondard

« Description Mentale »

Perdu... C'est la première chose que l'on peut dire sur ce qu'il se passe dans la tête d'Elrick. Passer de la bête sauvage à celle domestiqué puis de l'être libre qui doit se cacher pour rester en vie parmi les hommes à celui qui peut être lui-même dans un monde peuplé de créatures multiples, c'est beaucoup de changement en peu de temps quand on fait disparaitre la longue époque de son "hibernation" forcé.

Elrick a sa propre conception des amis, de la famille, des ennemis, de l'amour, bref, de la vie en générale qui est loin d'une version qui permet la vie en communauté, cependant il n'est pas contre d'apprendre à changer cela même si c'est parfois -ou souvent - avec mauvaise fois.  

On le dit brusque, sadique, mauvais, ce n'est pas vraiment le cas, je penserais plutôt maladroit, possessif et mal compris mais peu de gens cherchent vraiment à savoir ce qui se cachent sous son regard noir et ses grognements.

Allez-vous tenter de trouver l'homme sous la bête? Ou garderez-vous vos distances? Seul l'avenir nous le dira.

« Description Physique »

1m95, 92 kilos, une peau légèrement bronzé, des yeux noisettes mais des cheveux et des poils blancs et cendrés, tel est le griffon de Grèce. Il ne se coupe jamais la barbe, la rétrécissant juste quand il la trouve trop épaisse, tout comme ces cheveux qu'il garde toujours mi-long. Son  corps musclé par des heures de sports, d'abord pour sa survit, ensuite par l'habitude, ne lui sers pourtant pas à se battre, Erick n'étant pas un grand fan des bagarres si ce n'est pas pour une bonne raison. Bien sur, ses bonnes raisons à lui ne sont pas celles de tout le monde...

Habillé souvent de t-shirt ou chemise et jeans, il se ballade en revanche pied nue, ayant une sainte horreur de tout ce qui est chaussettes ou chaussure. Il trouve d'ailleurs que c'est à cause de ses choses que les gens puent des pieds et notre Elrick ayant un odorat tout de même sensible, il déteste ça.

Sous sa forme de griffon, Elrick à la taille d'un percheron, des oreilles pointu, un bec jauni cachant une petite langue rosé, des longues ailles de plumes cendrés, des sers aiguisés et la fin du corps d'un lion. Du à son âge avancé, les poils fauves de cette partie là ont la pointe blanchi ce qui donne un aspect unique à son doux pelage.  

« Histoire »

De ce qu'il se souviens, Elrick est née sous la chaleur torride de l'été grecque à une époque ou l'on pouvait encore être soi-même sans avoir à ce cacher. Certes, les soi-disant héros envoyaient pour les tuer étaient nombreux mais être griffon était connu et certains mêmes les désignaient en montures des dieux. Une chose qui faisait dresser les plumes de son père: Une simple monture? Quel honte d'être rabaissé à ça!

Notre jeune griffon a donc passé une longue partit de son enfance à faire peur aux hommes et à leurs piquer leurs ors et leurs nourritures avant d'en avoir marre de ces paysages là et de décider de voyager. Ses parents avaient beau lui dire que ce n'était pas une bonne idée, la jeune bête n'en fit qu'à sa tête et dès qu'il se sentit assez fort, il s'en alla...

Sur la route, il appris à ses dépends qu'être griffon n'était pas une bonne chose, beaucoup de peuples cherchaient à l'abattre avec encore plus de vigueurs que les grecques qui eux s'étaient plus ou moins fait à leurs présences. Il appris alors leurs formes et commença à se mêler à eux. Suivant les caravanes et les commerçants, il passa d'un pays à l'autre, émerveillé du moindre changement de paysage et de coutumes. Bonne et mauvaise chose à la fois car voulant se fondre à chaque fois à la masse des hommes, il perdit ses propres coutume et habitudes en tant que griffon...

Son voyage le mena jusqu'en Transylvanie. Choisie comme repas par un assoiffé de sang, Elrick du revêtir sa forme originel pour tenter de s'en débarrasser mais ne l'ayant pas utiliser depuis longtemps, la douleur en fut encore plus douloureuse au point de l'en faire vaciller. Celle-ci combiné à la force du vampire ne lui laissa aucune chance de s'en sortir mais le fait d'être une chose nouvelle dans ce pays fit de lui non plus un plat, mais une rareté gardé caché dans un cachot sous une immense demeure de buveur de sang.

Ne pouvant voir la lumière du soleil, Elrick perdit le décompte du temps, ses journées étant rythmé uniquement des visites des vampires, soit pour tenter d'être dressé à coups de fouet et harnaché comme une bête, soit pour être simplement exhibé aux "amis du maitre".  

Pui un jour, plus personne... Pendant combien de temps? Impossible à dire mais Elrick finit si mince par manque de nourriture qu'il put se frayer un chemin entre les barreaux de sa cage et se mit à errer dans les souterrain, se nourrissant des cadavres jusqu'à trouver une sortie. De là, il s'enfuyait vers le nord, encore plus au nord, toujours plus au nord avant de s'effondrer et de se faire recouvrir par la neige. Les battements de son cœurs ralentirent mais ne se stoppèrent pas...

Bien des années plus tard, se fut une expédition scientifique qui retrouva le griffon. Ne voulant témoigner de leurs découverte avant d'être sur qu'il ne s'agissait pas d'un canular, ils n'en dirent rien à personne et dégelèrent la bête sans savoir que la chaleur aller accentuer de nouveau son cœur et donc tout son corps. Perdu, effrayé et affamé, la première réaction d'Elrick à son réveil fut de les tuer pour se mettre en sécurité puis de les dévorer par manque de provision. Ayant retrouver des force, il pu refaire chemin vers le sud, prendre forme humaine et ce mélanger de nouveau à un monde qui avait changé encore changer. Des truc en fer, des truc qui parlent, des trucs qui volent sans ailles... Il fallut un long moment pour Elrick pour s'y faire et encore aujourd'hui, certaine chose lui font défaut.  

Pendant un temps, il traina dans la rue. Un restaurateur prenant pitié de lui le prit sous son ailes, lui offrant à manger et un toit en échange de le faire travailler gratuitement. Elrick apprit ainsi à cuisiner et pendant plusieurs années, travailla au côté de cette homme sans se plaindre. Il commençait presque à se faire à cette vie quand il reçus la lettre. Pouvoir être lui et voler, c'est vrai, cela lui manquait... Acceptant la proposition, il prit donc la route Yokaï et sa ville merveille.

« Et après ? »

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