La nuit dernière, en arrivant devant la porte de ma chambre je m'étais rendu compte que je n'avais plus de clé sur moi. j'avais donc décider de retourner tranquillement sur mes pas pour tenter de les retrouvais. Pour autant, j'avais u beau faire toute les salle et aller dans tout les lieux dans les quelle je m'étais rendue, mes clé rester introuvable.

Il devais être 20h30 quant je me retrouva enfermer dans la classe de langue alors que je me trouvais étalais sur le sol, tentant désespérément de regarder sous toute les table. N'ayant pas de téléphone, plus d’énergie a la suite de la journée épuisante que je venais de passer et n'étant pas non plus d'humeur a supporté de me faire engueulée par un membre du comité, je décida de m’asseoir sur une chaise pour m’affaler sur la table pour y passer ma nuit. Se n'étais pas un problème pour moi, loin de là.

Je fut prise d'un sursaut en entendant une alarme retentir dans la classe et briser le silence avant de voir akira débouler comme une furie, complètement essoufflé.
Il repris son souffle avant de me lancer presque froidement:

<< Qu'est ce que tu fais là? Et à cette heure la? tu n'es pas avec ton "chéri" de Kei. >>

Je devais avoir une vrais tête de déterré. Mes yeux cerné, a moiter réveiller et mes cheveu couver de poussière qui devais se trouvais en pétard a cause de la nuit, devais me donner une dégaine inimitable de personne épuiser et a cran.
Je lui repondie donc avec mépris et irritation:   

<<Demande sa a mes clé si tu les trouve et elle te répondons. Et, Non comme tu peut le voir, Mon "chéri de Kei" n'ais pas avec moi car il doit dormir ou manger dans la caffet a l'heur qu'il est. .... he il est quelle heur au faite ? Et toi? qu'es que tu fou ici? .... vu ton arrivais fracassante je te demande même pas si c'est toi qui a déclencher cette con d'alarme. >>

Je pris une profonde inspiration pour ne pas lui sauter dessus en l’entendant dire que je n'étais pas très intelligente. néanmoins, je le laissa parler pour ne pas interrompre bien que je centé ma patience diminuer.  

<< alors tu vois, premièrement, une clé de chambre n’ouvre pas TOUTES les chambre mais seulement celle qui porte le même numéro qu'elle. Deuxièmement si j'étai allé voire Kei sa aurai plutôt étais pour passer la nuit avec lui et nom pas pour qu'il ouvre ma chambre tant qu'a faire et troisièmement, Je me suis fait enfermé pendant la nuit dans cette stupide classe c'est pour sa que j'ais pas pus allais le voir ! ....Comme, sous cette forme je n'ais pas la capacité physique de défoncer une porte fermer a clé et que je ne suis pas asser stupide pour manque de me tué en passent pas la fenêtre, j'ais préféré passer la nuit dans la salle.... c'est claire?????  >>

Sur ce, je me retourna pour observé la salle a nouveau pongé dans la peine-ombre.
Je commencer a avoir faim et je n'étais pas sur de pouvoir procédé a une transformation pour l'instant.
Après quelle que instant de réflexion j'haussa les épaule en continuent :

<< whoé aussi..... j'aurais pus tapé a ta porte mais sa aurai étais dans le cas ou Kei n'étais pas dans sa chambre.

Je me tourna en suite vers lui pour venir m’asseoir juste a ces coté avec un petit sourire:

<< Au fait qu'es que tu foutais pour avoir fait autant de remue ménage ? >>

Ok. Soi il me cherche soi j'allais lui en coller une car en plus de me répété une chose qui m'avais déja dite et a la quelle j'avais déjà répondu, il venais de sortir une bar de céréale, juste son mon nez. Est moi qui mourais de faim....

<<Alors, tu aimerais avoir cette barre, je te propose de me faire un baiser sur les lèvres qui dure, à toi de voir soit tu meurs de fin soit tu te nourris, ah oui j'en ais d'autres caché sur moi dans des endroit très chaud. Tu me dois sa après m'avoir manipulé.>>

Je senter que mes nère n'étais pas loin de lacher mais je devrais restais calme. Me Contrôler étais impératif. Je pris donc une longue inspiration pendant qu'il sagitté au tour de moi pour e narguer.
Bon ... après tout si j'avais faim se n'étais pas ma faute. Si se n'étais que pour me nourrir se n'étais pas considéré comme de la trahison quant même?... Bon de toute façon j'avais trop fin... Surtout ne pence pas a kei sa pourrais tout casser Mëw!

Je me leva alors très sensuellement en me tournant ver lui qui c'étais appuier contre le mur. Je le regarder avec un petit sourire en coins un et regarde plains d’envie en m’approchant de lui:

<<Han... tu a raison...... tu veut mes lèvre sur les tienne ? .... que diré tu d'avoir mieux.......? De les avoir sur une zone de ton corps plus sensible a elles? >>

J’arrivais juste a son niveau pour pincer la bar qu'il avais dans la mains et la lui retiré pour la jeté sur le sole a fin de lui montré que cette nourriture n'étais pas celle qu'il m’intéresser. Je posa alors une mains sur sa joue et une sur son tors que seul le bous de mes doit touché. je la fi alors glisser jusque au bas de ces abdos qui se center sous le tissu. J'attandie alors sa réponse pour savoir si je pouvais ou non allais plus bas. Je profita  de se petit arrêt pour me mordier la lèvre inférieure.

Je gardé un sourire accroché a mes lèvre en entendant sa réponce bien que son espri lui n'étais pas aussi convincu que se qu'elle allais lui fair croire :

<< Non ne t'en fait pas pour sa Kei n'en sora rien.>>

A ma grande surprise il ne perdit pas de temps pour m'embrasse et c'est ainsi, je senti sa mains se poser sur mon menton et ses lèvres, se poser sur les mienne avant de partir vers mon oreille pour me murmurer :

<<Tu as pas besoin d'avoir mon autorisation et puis personne nous trouvera ici>>

Avant même que je ne puis reprendre se que j'e m'étais arrétais de faire je me senti soulevais et posser sur une des table.. le bureau du professeur... Je sentie aussi ces lèvre venire se logé dans mon coup cette sensation... Non il ne fallais pas que j'y pence. Je devais me consentré exclusivement sur Akira.
J'u d'ailleur un frison en sentans sa mains chaude caresser ma cuisse. c'étais une sensation étrange... cette chaleur sur ma peau ....  

Je le repoussa doucement pour redescendre du bureau et le repousser contre le mur avant de lui murmuré sur un ton aguicheur:

<< hum.... non akira pas si vite.... Ne bouge pas.... laisse moi faire... profite uniquement de se plaisie qu je vais te procuré.... >>

Je mis alors mes mains sur son bas de son torce et les fit désendre lentement jusqua sa sinture pour commencer a en retiré la boucle tout en le regardant avec anvie dans les yeux.

je récupéra les deux bars de céréale sans trop savoir la raison pour la quelle il me lais donné si soudainement. Sa n'avais aucune logique. Même lorsqu'il m'éxpliqua je resta interdite, un peut hébété pas se qu'il me disé car sa n'avais pas de sens venant de lui. Enfin. cela m’arranger tout de même. au moins je n'avais pas a risquer quoi que se soit aussi bien pendant ma tentative qu’après:  

<<Tu croyais que j'allais aller loin avec toi, même si j'avais envie, il y a quelques limites que je dois respecter et pour info, même si c'est pas dans mon habitude, je respecte Kei même si on est ennemi. Et de plus, tu n'as pas encore grandit. Devenons juste ami, je pense pas qu'être meilleur ami soit une bonne idée. Et puis si tu me chauffe à chaque fois,sa va pas le faire.>>

Je me mit a rire avant de lui lâcher:

<< Te plain pas ! Si je te chauffe c'est par ce que tu fais tout pour et puis, je te rassure toute de suite, je n'avais absolument pas l'intention de fait se que je te disé. Tu a étais sasser bette pour croire que j'allai changer d'état aussi rapidement. Enfin akira, tu fait partie des rare personne que apprécie bien mais pour autant, une amitié c'est impossible, peut importe la personne. >>

Je me cala alors contre la table du prof et ouvris l'une des bar pour commencer a la manger. Se n'étais pas du chocolat mais j'avais vraiment trop faim et j'étais trop faible pour faire la difficile.

En entendant c'est mots je senti ce re-cerrer contre la bar de céréale et allant jusqu’à la déformé. Ma mauvaise humeur commença rapidement a reprendre le dessus a cause de la fatigue.
Moi ? mourir rapidement ? j'ais toujours su me sortir de toutes situation qui m'on fait face et il n'y a pas de  raison pour que cela change ! Je lui lança un regarde meurtrier avant de lui grogné:

<< Celui qui devrais le plus s'en faire pour sa survie ce n'ais pas moi. Tu est trop naïf! Tu n'ais qu'un petit poison rouge qui ne retiens pas les leçon du passer. Lorsque le moindre prédateur intelligent passera, il ne fera de toi qu'une boucher. >>

En le voient partir de me retourna pour m’affaler sur la chaise du prof en regardant ma bar de céréale.

Et si il avais raison.... Et si Kei finisser par ce lasser de moi.....
Je continuer a irréfléchie, en proie a la tristesse et au désespoir. Il m'avais couper l'appétit.

En entendant les crie des garde c'éloigner, je mis les bars dans ma poche et me leva pour me dirigé vers la porte avec non chalance. Avec tout sa, je n'avais d'ailleur toujours pas retrouvais mes clé.