Depuis une petite semaine, le climat de merveille avais connue une monter de température fulgurante. Heureusement se n'étais pas encore le Sahara mais quoi qu'il en étais, toute la vie avais ralentie, écraser par cette chaleur inhabituelle de fin de septembre. En raison de cela, même les cours avais étais suspendu.    

Se matin, comme les précédant depuis le début de la canicule, je me leva au alentour de 5h  de manière a profiter de la fraîcheur de fin de nuit. autant dormir lorsque la chaleur nous en donne l'envie.

Je m’habilla rapidement, troquant ma robe contre des vêtement plus légers.
En regardant mes clés de la chambre sur ma table de cheuvé j'u un petit moment d’hésitation. Finalement, je décida de les laisser au vus de l'heur et du fait que mes deux colocataire allai surement rester flemmarder au lit toute la mâtiné. J'avais donc tout le temps de venir lorsque la chaleur se fera de foi de plus pesante.
En ouvrant la porte sen buit, je fut surprise par un petit papier poser au sol. J'étais persuader qu'elle n'étais pas pour moi étant donner que je n'avais aucune famille et aucun ami susceptible de m'écrire. Se fut la curiositer qui m'amena a ramacer la létre et a la retourner pour savoir a qui elle étais destiner.

Je fus stupéfaite d'y voir inscrit mon nom. De ce fait, j'u un petit moment d’hésitation avant de décider de l’ouvrir pour la lire.

J'u un petit sourire en tournant de nouveau la lettre et en comprenant voyant que l’expéditeur n'avais même pas dénier mettre son nom. A première vu, sa avais tout l'aire d'un canular et comme cerveau a l'origine de celui-ci j'avais déjà quelque nom en tête.
Je rangea alors le papier dans son enveloppe. C'est a se moment la que je me rendis compte qu'il y avais autre chose a l’intérieure. Un Billet de bus et de parc aquatique.

Finalement se n'étais pas forcement un canular mais quoi qu'il en étais, pour moi,un tour dans le monde des humain c'étais juste une bonne blague.

Je n'sais pas qui a organiser sa mais si il crois que je vais retourné dans le monde des humain il se met le doit dans l’œil ! c'est or de question !

Je commença a faire demi tour pour jetais tout sa a la poubelle lorsque je sentie mon corps comme pétrifier. Mes membre ne me répondrais plus, seul ma tête étais encore mobile et lorsque je voulue appeler mes compagnon de chambre pour m'aider, mes lèvres se collèrent.

Bon ok, se n'étais peut-être vraiment pas un canular et il allais réellement m'obliger a y allé.

Intérieurement je juré contre cette curiosité qui m'avais pousser a ouvrir la lettre et contre les fondateur de cette mascarade.
Lentement, mon corps se remis a bouger de manière tout a fait naturelle. l'ennuie étais que se qu'il ne bouger pas de mon plain grée.
Il déchira l’enveloppe et la lettre pour les getter dans a la poubelle et mis les deux tiquer dans la poche de mon short avant de ce diriger vers la sortie et dans le même temps, de l’arrêt de bus.
Arriver sur place je resta quelque heur les pied clouer au sol m’en-péchant de partir.
Petit a petit, divers individu se présentèrent a l’arrêt jusqu'à former un groupe de la taille d'une classe. A se propos, je reconnu quelque élève provenant du lycée.

Lorsque le bus fit son apparition, mon corps monta a l’intérieure, pris place et mis sa ceinture. Je ne repris son controle que lorsqu'on entra dans le portai antirationnel où évidemment je n'avais plus le moyen de faire demi tour.