Informations

Inside my head~

Je peux dire que je n'ai plus aucun problème de sociabilité : je peux arriver à dire ce que je pense, sans hésitation. Que cela soit un langage soutenu ou pas, je peux parler de plusieurs façons. Je connais aussi le dialecte des dragons, comme c'est ma langue natale.
Je dirais toujours la vérité. Je sais que certaines personnes n'aiment pas entendre ce qui peut les blesser, mais ce qui doit être dit doit l'être. Cela m'arrive que les gens sont en colère, triste ou surpris. Cependant, dans mes paroles réside une part de sagesse, même si je suis plus un animal qui représente la force et la brutalité.
J'ai pu trouver une personne qui me ressemble... À vrai dire, je sais qu'il en existe plein dans les parages. Mais d'aller les voir pour leur dire « Salut, je suis ton ancêtre, le Tout-Premier. Donc je suis un peu comme votre père à tous. » , c'est pas trop mon genre. Je suis assez solitaire de nature, car j'ai passé une bonne partie de ma vie à errer ici et là.

Quand il s'agit des dragons, je suis très protecteur. Si je sens que l'un des miens est blessé, je le ressentirais. Bien évidemment, si on fait cela sous mes yeux, je n'hésiterai pas à intervenir. Ceux qui s'attaquent aux dragons en paieront le prix fort.
J'ai pu rencontrer un grand nombre de créatures, toutes aussi différentes les unes que les autres. Certaines, je les protégeais, d'autres furent mes ennemis. Actuellement, mon credo est « Toute chose à le droit de vivre, tant qu'elle ne perturbe pas l'harmonie. ».
Cependant, si quelqu'un pleure face à moi, je perds vite mes moyens, et je fais souvent un peu n'importe quoi. Face à une fille, je reste plus ou moins naturel : si c'est elle qui tente de me charmer, je ne serai pas très à l'aise. Mais si je suis le dominant, je m'en donne à cœur joie.
Je suis proche des gens que j'ai rencontrés par contre, et de celle que j'aime aussi. Je suis plus détendu, et arbore plus souvent un sourire. Et quand il s'agit de faire la fête, je suis assez partant : c'est surtout que je tiens très bien l'alcool.

Can't touch this~

Mon apparence physique a réellement changé, et surprend toujours les personnes que j'avais croisées au sein de la dimension Merveille. J'ai retrouvé mon apparence originale, soit quelqu'un de plus mature.
J'ai maintenant une peau mat, qui devient claire s'il y a trop de lumière. J'ai une taille de plus de 190cm, pour un poids de 70kg. Ma musculature est plutôt développée à présent, à la différence de mon arrivé ici. Je peux à présent soulever des charges qui font mon propre poids, et je suis bien plus endurant. On peut dire que je pourrais faire un joli top-modèle masculin aussi //PAN//.
Mon visage a des traits bien définis. J'ai un nez pas très épais et court, une bouche un peu large. Mais le plus impressionnant reste ma pilosité apparente : j'ai retrouvé mon bouc fétiche, dont j'en prends le plus grand soin. Mes sourcils sont devenus un peu plus épais, et mes yeux sont devenus encore différents. J'ai à présent les yeux bleus lorsque j'utilise ma puissance, et or quand je suis au repos. Mes cheveux ont quasiment la même taille, à la différence de la perte de ma mèche rouge.
J'aime bien varier mes vêtements, même si j'essaye d'être le plus souvent classe et charismatique surtout.

En forme de demi-dragon, je commence à me recouvrir d'écailles au niveau de mon dos, de mes côtes, de mes jambes et de mes mains. Mes ailes apparaissent sur mon dos avec des inscriptions runiques sur celles-ci. Elles sont de couleur argentée, comme mes écailles. Mes yeux deviennent comme ceux des serpents et mes canines deviennent un peu plus pointues.

Sous forme de dragon, je ressemble à ça. Je ne suis pas plus haut que trois maisons et large comme un entrepôt. Je n'utiliserai jamais ma forme originelle, sous peine de générer des cataclysmes au mouvement de mes pas.

A long time ago...

Je pensais avoir une famille, un père et une mère, mais j'ai été dupé. En effet, j'ai subi un effacement de ma mémoire par l'ordre des Draconiens, un groupuscule qui au départ me vouait un culte. Mais avant d'en arriver à ce jour funeste, je me dois de vous raconter le commencement, le début de ma vie.

Comme tous les reptiles, je naquis en sortant de mon œuf. Je me rappelle de ma vision aveuglée par la lumière du Soleil, les sons doux des oiseaux et la sensation de mes pattes touchant le sol encore humide de la rosée du matin.
Ma croissance se fit très lentement : j'ai dû mettre environ 20 ans pour apprendre déjà parler, à exprimer ma voix tonitruante et grave à travers la forêt. Cependant, un jour après, des masses difformes roses, aux différentes proportions étaient venues avec des outils très rutilants. Instinctivement, je sentais une certaine hostilité envers moi. Je savais qu'ils me voulaient, mais je ne pensais pas qu'ils tenteraient de m'affronter. J'étais haut comme deux maisons, certes inexpérimenté, mais assez pour pouvoir me défendre convenablement. Je savais qu'ils me voulaient, mais je ne pensais pas qu'ils tenteraient de m'affronter.
Comme je ne pouvais toujours pas voler, à cause de mes ailes pas tout à fait développées entièrement, je m'échappai le plus vite possible à travers la forêt dont j'en connaissais toutes les cachettes. Après quoi, les humains perdirent ma trace. Je me devais de trouver un autre endroit pour me nourrir et me reposer.
J'avais trouvé une grande grotte, assez pour que je puisse dormir sans problème de confort. La nourriture dans cette nouvelle région était bien plus abondante que mon lieu de naissance.

20 ans de nouveau passèrent, et je pouvais à présent voler sur une certaine distance. J'ai développé une réaction à certaines choses magiques qui m'apparaissaient de temps en temps : c'est là que j'ai appris que je n'étais pas qu'un simple dragon, mais que j'avais un élément. Cet élément était les Arcanes. Une magie non-élémentaire, qui manipule l'énergie présente en chaque chose capable de posséder une réserve de magie. Cela incluait les plantes, les animaux, ainsi que les roches.
Avec cette magie, je me demandais si je pouvais passer inaperçu dans le monde des humains. J'ai tenté pendant 10 ans à vouloir trouvé une forme humaine qui me convenait, sans restreindre trop ma force physique.
À partir de là, il me fallait me faire connaître : en secret, j'appris les arts de la guerre, le maniement de l'épée, du bouclier, de la claymore ainsi que de l'arc. Ma magie aussi fut de séance, car je devais pouvoir arriver à me battre avec tout un arsenal de capacités. Il me fallait ensuite tenter le plus dur : parler en humain. J'ai mis plus de 5 ans à comprendre le dialecte complexe de cette race. Par ailleurs, je me suis dit que mon nom de dragon (qui m'a été murmuré quand j'étais dans mon œuf) d'Adramel, n'était pas un nom convenable pour un humain. C'est alors que je pris le nom simple de Duncan, un nom assez chevaleresque, je dois dire.
Je me présentais au seigneur de la région pour demander un anoblissement, à cause de mes capacités très développées. Je me devais de combattre en duel son meilleur chevalier, et ce fut tâche aisé. La lame encore fraîche dans son corps, je criais :

« Je me nomme Duncan, et je serai connu sous le nom du Chevalier-dragon Adramel ! »

Ainsi, ma réputation allait de façon exponentielle, jusqu'à ce que je puisse enseigner aux futures générations les valeurs du code des chevaliers, ainsi d'une façon particulière de combattre, et de communiquer avec les dragons. En effet, depuis quelque temps, mes compères bêtes et sauvages sévissaient dans les régions tout entières. Grâce à ma formation, ces futurs chevaliers ne connaissaient pas la peur face à ses monstres, et gagnaient face à eux.
Puis l'arrivé d'un dragon bouscula la région : son nom était Alynch, un dragon noir et très imposant. Il demandait un duel avec le chef des Chevaliers-dragons, c'est-à-dire, moi. Le combat fut rude, et à de nombreuses reprises, je pensais qu'utiliser ma magie ou même ma forme de dragon aurait été plus simple. Mais je voulais inspirer le courage à mes hommes. Au terme du combat, il demanda mon nom. Je lui ai dit mon nom humain, mais je lui ai soupiré ensuite mon véritable nom. Il sourit et s'en alla dans les cieux sans rien dire.

Quelques années plus tard, je rendais mon service de chevalier-capitaine. Je me devais de passer le flambeau, et expliqua à mon successeur qu'il devra faire la même chose avec le disciple qu'il jugera le plus apte à commander les Chevaliers-dragons. Ainsi, ma vie en tant que Sire Duncan (j'ai reçu un titre après ce combat) s'acheva. En quittant les lieux, je gardais cette armure sur moi, comme étant fier d'avoir pu servir les humains pendant 50 ans.
Mais ma surprise fut plus grande, lorsque des hommes mystérieux s'avancèrent vers moi, me nommant par mon prénom draconique. Avec l'expérience que j'ai obtenue, je trouvais une forme semi-humaine pour les aborder. Ils me disaient faire partir d'un culte me vouant le respect et la puissance. Encore naïf, je pensais à tout cela, et c'est vrai : une fois arrivé sur le lieu de leur repaire, avec le tas de nourriture et d'or, je pensais vraiment que ce n'était pas une plaisanterie. Mais voilà qu'Alynch me tomba dessus. Il me dit que j'étais son rival, son ennemi juré. Alors sans hésitation, il me planta une de ses griffes dans mon cœur. Je sentais mon sang qui se vidait à ce moment-là, mais étrangement, aucune douleur ne se faisait sentir. Dans un dernier effort, je cassais la griffe qui me retenait au sol, pour la retirer et me transformer intégralement en dragon. J'avais la taille adulte, une taille qui dépassait l'entendement. Ma taille atteignait celle de la plus haute montagne jamais connue, mais Alynch n'était pas si loin. En se regardant, on savait que notre combat n'allait pas être sans conséquence sur le Monde. On décida d'une trêve, où les dragons ne devaient plus combattre sous leur forme originelle, sous peine de causer le déséquilibre. Notre hostilité n'était pas toujours effacée, mais nous respections ce code.

Des siècles s'écoulèrent, où la race des dragons ne causèrent pas trop de cataclysmes. Cependant, l'ordre des Draconiens usa d'un stratagème pour m'affaiblir et me rendre vulnérable : en appelant et requérant l'aide d'un chevalier-dragon, on m'immobilisa au sol, avant d'utiliser un sortilège pour effacer ma mémoire. Dans un dernier instant, je regroupais dans un coin de mon esprit tous ces souvenirs. Après cela, mon histoire est la même que j'ai donnée à mon entrée : un soi-disant « père » et « mère », ainsi qu'une lettre d'une endroit nommé « Merveille », écrit par la main de la directrice.
J'ai rencontré de nombreuses personnes, aussi attachantes les unes que les autres. J'espère juste que mon séjour à Merveille ne causera pas autant de soucis que mon histoire.

I've got the power !

Chaque dragon naît sous le signe d'un élément, tels les quatre éléments fondateurs, ou d'autres plus exotiques. Mais il arrive qu'un dragon obtient un élément d'une extrême rareté, car issu d'une magie très instable et brute : les Arcanes.

La magie des arcanes est un art, à la fois simple à vue d'oeil pour une simple personne, mais extrêmement complexe pour son utilisateur, et les connaisseurs de cette puissance. Les mages arcaniques sont très peu à maîtriser la totalité de leur pouvoir : ceux qui ont essayé se sont retrouver consumés par les particules magiques qu'ils essayaient de maîtriser, car il n'avait pas les conditions requises pour supporter la charge magique qui passait en eux. Les Arcanes sont une magie neutre : elles sont non-élémentaires.

Quand on utilise de la magie arcanique, on utilise notre environnement pour concentrer dans un premier temps ces particules magiques. Ensuite, notre corps sert de catalyseur : un "pont" se crée entre cette énergie brute de la paume d'une main, et la formation finale dans l'autre paume de la main. Pour cela, les arcanistes (mages des Arcanes) peuvent voir les particules magiques et donc, peuvent déterminer où la magie prend source.

Ce catalyseur à une réserve propre d'utilisation, ce qui signifie que plus les sorts sont nombreux, coûteux en particules et puissants, plus cette énergie est consommée et une fois arrivée à zéro, il est interdit de faire une quelconque incantation au risque de sa vie.

Un arcaniste se sert de son imagination, ce qui qualifie la magie des arcanes comme un magie de création. De plus, on trouve trois classes bien distinctes : les créations offensives, défensives et les soutiens.

- Les créations offensives regroupent les sorts d'attaques, d'où son nom. Elles permettent de tirer des traits d'arcanes, des rayons, des sorts de zones de quelques mètres à 1km maximum qui sont extrêmement durs à contenir et un sort ultime spécifique à chacun.

- Les créations défensives sont pour la défense, c'est évident non ? Les sorts de bases sont des barrières frontales qui bloquent un certain montant de dégâts. Ces barrières peuvent devenir des sphères et peuvent contenir plus de dégâts si on ajoute plus de particules dans la protection. Une maîtrise élevée permet de dévier les sorts, mais cela consomme beaucoup de magie. Le sort ultime de défense est commun pour tous les utilisateurs : il absorbe le sort et le convertit en particules pour être ainsi réutilisés par l'arcaniste.

- Les créations dites de "soutien" regroupent plusieurs choses diverses. Cette dernière catégorie dépend essentiellement de son utilisateur : une personne qui aime aller sur le front aura des invocations d'épées partielles (pendant une durée limitée donc), une personne plus tactique emploiera des tourelles arcaniques (mais celles-ci demandent beaucoup de particules et d'énergie). Les sorts ultimes correspondant dans cette catégorie sont des manifestations arcaniques : elle représente la nature profonde de son utilisateur et démultiplie l'utilisation de la magie, soit au lanceur, soit au groupe si la personne est plus altruiste qu'égoïste.

En plus de cela, cette magie permet une grande ouverture sur les métiers : un mage des arcanes peut trouver son bonheur en joaillier, inventeur d'armes, d'armures, ou d'objets magiques (comme de l'encre magique).

Le signe distinctif des utilisateurs de la magie arcanique est un tatouage se révélant vers les 7 ans (en temps humain) : ils représentent leur jauge d'énergie en fonction de la puissance lumineuse qu'ils génèrent. Cela ne concerne les créatures de type humanoïde. Sinon, dans mon cas, je peux « sentir » ma réserve magique.

Je connais la plupart des sorts pour chacune des trois catégories : traits simples, créer des barrières frontales ou en dôme. Je suis cependant très dépourvu de capacités de soutien. J'en ai qu'actuellement trois : une manifestation arcanique altruiste, égoïste et ma capacité unique à moi : le « Boost ».

Je peux, grâce à des particules que j'altère d'une différente façon, améliorer les sorts que je lance. Dans un combat, je ne peux qu'utiliser "Boost" trois fois, sinon je risque fort de ne plus d'avoir assez de force pour tenir debout. Si je vous disais ce que cela faisait, je voudrais bien. Seulement, je n'en vois pas l'utilité. Vous n'avez qu'à étudier cette magie.

Behind the screen