Millia De Medici
Messages : 174
Date d'inscription : 30/05/2015
Age du perso' : 30
 |  Sujet: Le retour de la famille De' Medici  Sam 30 Mai - 16:48 | |
|  Millia De Medici Informations Nom: De Medici
Prénom: Millia
Âge: 20 ans
Sexe: ♀
Nationalité: Italienne
Groupe: Comité de sécurité
Race: Nymphe
Arme (Si comité ou guardian): Weapon Strike (Epée d'Aion)
Année et classe (si élève) Quatrième année et Maitre
|
feat : Prussia Female d'Hetalia |
Psychologie
Ainsi, vous osez vous approcher de ma personne dans l'espoir de faire connaissance, savez-vous au moins à qui vous vous adressez cher inconnu ? Il est certain que vous n'en avez aucune idée, imprudent que vous êtes, toutefois, je consens à vous instruire à mon propos. Que désirez-vous explorer en premier ?... Oh une personne qui s’intéresse dans un premier temps à la personnalité du sujet et non à son physique. J'accepte de me décrire de la manière par laquelle je me vois après tout n'est que subjectif, il est plus facile de dissimuler ses défauts face à tant d'atouts qu'on pourrait être traité de menteur. Je vous conseille donc de vous faire votre propre opinion à travers la suite de mes péripéties.
Pendant notre enfance, nous calons notre façon d'agir par rapport à nos géniteurs, nous espérons leur ressembler dans l'avenir car ils sont nos héros sans la moindre faiblesse. Pourtant, certains bambins n'ont pas tous la liberté de choisir ce qu'ils seront dans 20-30 ans, eh oui, venir d'une famille noble telle que la mienne amène à respecter des codes de conduite. Je me suis toujours appliquée à les retenir sous peine d'avoir une bonne correction en cas de désobéissance par mon père, je porte une haute estime dans les bienséances et en la politesse envers autrui quelque soit le rang. Je ne nie pas que je suis de nature hautaine et orgueilleuse comme mes ancêtres grâce au prestige qu'a longtemps détenu ma famille, la famille des Médici. Il n'est pas inhabituel que je me lie volontairement à des personnes socialement plus bas, après tout, les échelons de la société ne font pas la personne. Ma famille n'a jamais apprécié depuis ma plus tendre enfance que je me tisse des liens avec les différents enfants des domestiques, en cela, vous pouvez dénoter une plus grande tolérance de ma part.
Souvent d'humeur plus ou moins neutre, disons que je souris de temps à autre, ne vous attendez pas une belle jeune fille joviale en toutes circonstances. De plus, je fais partie du comité de sécurité, autant dire que je me dois d'être vigilante à ce qu'il se déroule dans ce lycée et de réagir aux moindres petits litiges, je ne peux pas me permettre de me disperser. J'ai donc plus tendance à être sérieuse qu'être rayonnante de joie pour un oui ou pour un non, j'arrive tout de même à me détendre avec mes amis et dans des occasions spéciales. A vrai dire, je me suis assouplie dans le rôle de la noble farouche et présomptueuse depuis que je connais Kirito, un camarade de ma classe avec lequel je discute en-dehors de notre vie scolaire. Je confesserais même qu'en tant que dans ma condition de nymphe, je trouve mon plaisir dans un domaine tout particulier, à vous de le découvrir.
Sincère et tranchante, je ne me rends pas tout le temps compte que je blesse mes interlocuteurs, mon éducation m'a fait croire que j'avais toujours la bonne parole, contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, je n'ai pas une adoration envers le caractère hypocrite de la noblesse. J'exprime mes ressentis même si cela peut être une impression fausse. Je n'en démords pas à partir du moment où j'ai l'intime conviction de ne pas me tromper. Le mauvais coté est que je suis à l'inverse assez susceptible, rigide ne signifie pas qu'on est une créature insensible à toutes formes de communication. Je me renferme assez vite à une quelconque remarque, comportement tout à fait puérile de ma part, qui démontre également un tempérament solitaire.
Je tiens énormément aux principes que l'on m'a jadis inculqué tels que la fierté, l'honneur ou la vérité et la justice, qui ne sont pas révérés par la plupart des membres de ma famille. Combattante hors-paire ayant une excellente maitrise de mon épée, Weapon Strike, à l'aide de séances d'entrainement intensifs et disciplinaires, je n'ai pas peur d'affronter mes adversaires dans un combat loyale. En effet, ma famille est encore fidèle aux valeurs de la chevalerie notamment s'agissant des affrontements, j'ai étudié l'art de l'escrime et ses secrets, la joute ou plusieurs techniques de combat rapprochée. Je suis programmée pour mettre ma vie en toute conscience dans une guerre au nom de ma famille bien évidemment, je ne suis toutefois pas une machine à tuer. Je ne suis pas du genre à agresser une personne sans raison apparente mise à part si celle-ci a le culot de m'attaquer ou de s'en prendre à mes amis dans le but de m'atteindre. Dans ce dernier cas, il ne s'agit plus de défendre mes amis mais de m'acharner sur le ou les responsables pour leur faire payer leur impudence.
Vous verrez que je suis très calme, mon état relève d'une colère noire et presque d'une hargne dans des situations rarissimes mais extrêmes. Je vous préviens à l'avance qu'il faut fuir et se mettre à l'abri car énerver une nymphe n'est pas chose aisée, néanmoins, subir la rage de celle-ci relève du miracle.
Je ne suis pas de ces demoiselles simplettes et naïves, j'essaye d'étendre mes connaissances en me cultivant par les livres, pas que je sois d'un QI égal aux meilleurs scientifiques mais mes résultats sont plus très probantes en classe. J'ai toujours eu l'habitude de répondre aux questions, à être droite et sage pendant les cours, la piaillerie ne faisant pas partie de mon vocabulaire.
Voici ma psychologie telle que je la perçois, je ne suis pas dupe, je dois avoir autant de tares que n'importe qui sur cette terre, cependant, je ne l'admettrais jamais devant vous.
Physique
Passons à la partie la plus agréable bien que je ne comprends pas l'utilité de me détailler de la tête aux pieds alors que vous me dévisagez depuis un bon moment, cela devrait être à vous de témoigner de ma splendeur naturelle et de ma tenue digne mais sévère.
Ma stature est telle que la plupart des personnes me trouveraient grande pour mon mètre quatre-vingts, cela dit je ne me vois ni petite, ni élancée car ce n’est pas le genre d'aspect qui importe à mes yeux. Quant à mon gabarit, je suis assez svelte, ne pesant que cinquante-cinq kilos, même si cela ne vous regarde théoriquement pas.De plus, mon éducation m’a habitué à me dresser de façon condescendante, au point que ma démarche donne l’impression que je regarde les gens de haut.
Mon rang et mon nom ne me laisse pas non plus libre en toute occasion, j’ai le devoir de représenter la lignée des Medici, en impressionnant de manière permanente, ainsi qu’en conservant la dignité et la légende de mes aïeux.
Ma chevelure fine et immaculée dont la texture ressemble à celle du satin, ondule le long de mon dos jusqu'à mon petit fessier assez rebondi. Deux petites mèches rebelles se recourbent à chaque extrémité de mon charmant minois à la forme triangulaire. Mon épiderme est d'une couleur blanchâtre pas aussi pâle que celle des vampires ou des morts-vivants, plutôt dans les teintes crèmes. Quelques traits apparaissent au contour des pommettes, elles ne sont pas très visibles grâce à ma peau lisse. J'ai un visage tout à fait proportionnée au reste de mon corps, mon nez est légèrement retroussée mais cela n'est pas très dérangeant. Je possède des yeux vermeilles, un rouge rappelant le liquide vitale des hommes, ces derniers sont assortis de sourcils blancs presque argentés. Parfois, la nuance sanguine se transforme en une nuance bleutée mi-foncée, mi-claire, ce qui affirme un état d'esprit déterminé mais cela reste très rare d'apercevoir ce phénomène. Quant à mes lèvres pulpeuses rosées et fines, au-dessus d'un port de menton dédaignant et strict.
Une petite cicatrise entaille ma joue droite, blessure reçue lors d'une escarmouche, je n'ai en aucun cas honte de l'arborer avec vanité. Comme toute dame qui se veut belle, j'ajoute à ma beauté naturelle une touche de maquillage sur mes lèvres et mes paupières, pas énormément pour ne pas perdre de vue que le naturel reste supérieur à l'artificielle. Chose que n'a jamais comprise ma mère, s'étalant une tonne de produits de beauté, croyant être une reine en camouflant tous ses défauts physiques.
Enfin, je ne suis pas très compliquée au niveau du style vestimentaire, dans ma vie de tous les jours, je porte un uniforme bleu terne composé d'une longue veste tombant jusqu'aux genoux et d'un pantalon moulant mais pratique pour se mouvoir. Un col blanc d'aristocrate à froufrou s'arrêtant jusqu'à ma poitrine généreuse, s'attache autour de mon cou frêle. Par-dessous, un haut gris se profile au niveau du ventre. Vous l'avez sans aucun doute remarqué, je fais très soldat, en effet, je m'habille très peu souvent en femme à part pour des rendez-vous galants où je suis une belle princesse.
Storyline
Vous devez sans nul doute connaitre la famille des Médici, reconnue comme étant la plus influente de Firenze, elle est même surnommée la "Trésorerie d'Italie" à partir du XIVème siècle. Ce que vous ignorez, est que cette famille fortunée à souhait cache un secret pouvant vous faire hérisser le poils sur le dos. Réfléchissez, cela ne vous semble pas bizarre que cette famille puisse rester au pouvoir si longtemps, remuez-vous un peu les méninges voyons. Ce mystère à leur puissance réside dans le fait que c'est une des plus vieilles familles d'Italie voire d'Europe, le plus surprenant demeure le fait que ce ne soient pas des gens tout à fait normaux. A vrai dire, ce ne sont pas des humains à proprement parlé, ils dissimulent leur véritable identité: Les nymphes. Ne soyez pas choquer à mes propos, vos parents vous ont narré les mythes et les légendes sur des créatures surnaturelles, si je vous confirmais qu'elles existent réellement.
Depuis l'antiquité, les nymphes mâles et femelles se sont accouplées entre elles dans un sentiment de faire survivre la race face à la croissance nuisible des Hommes, elles voilèrent leur pouvoirs, faisant mine d'imiter les manières de vivre des êtres mortels. De cette façon, elles purent agrandir leur territoire et obtenir une grande notoriété, leur volonté étant de faire passer pour des chimères leur existence. Leur plan marchèrent à la perfection, bien sur, elles ne se détournèrent pas complétement de leur fonction de protectrice des éléments naturels comme l'ont décrit certains auteurs grecs et romains. Firenze est un bel esquisse de leur œuvre au cours des décennies, la ville est d'une part le nerf névralgique de l'économie et de l'autre, la ville la plus florissante de la botte italienne.
Malgré les siècles et le progrès, les traditions restent immuables face au temps, l'exemple est flagrant s'agissant des mariages entre nobles dans le but de garder une lignée prestigieuse et augmenter son autorité sur le territoire. Mes parents se sont en effet unis par les liens du mariage grâce à un mariage arrangé, aucun amour n'avait jaillit dans le cœur de ces deux êtres, leur intérêts n'étaient purement que politique et financier. Je vis le jour dans la chambre de Mère, chambre magnifiquement décorée de dorures murales et de fleurs parfumant agréablement la pièce. J'arrivais dans les cris et la douleur de Mère, elle qui est si douillette, devait souffrir le martyr notamment si mon faux jumeaux me suivait de près. Mon frère Lorenzo a toujours aimé se faire languir, ce qui fut le cas à l'instant de sa naissance, les sages-femmes entourant Mère s'affolaient du temps qu'il mettait à sortir, finalement, il naquit deux heures après moi. Mon père et chef de la famille De' Medici fut ravi d'avoir un fils, moi je n'étais qu'un bonus, le sort avait décidé que la fierté de la famille serait mon jeune frère. Toutefois, je n'ai jamais regretté d'avoir un être qui me comprenait sur tous les points, nous nous sommes toujours soutenus dans le malheur comme dans la joie.
Mon enfance fut très éprouvante, dès nos quatre ans, nous commencèrent nos leçons dans le dessein que nous soyons rapidement prêts à nous mettre au service de la famille des Médici. Mon frère et moi n'avions plus le temps de jouer à nos jeux préférés, notre temps était consacré à l'apprentissage des bonnes manières, des langues, du combat, la culture générale et surtout la botanique. Nous ne vivions que pour cela, les seuls moments de détente se situaient lors des week-ends où nous pouvions faire des balades à cheval ou visiter des monuments historiques. Parfois, nous nous rebellions de concert contre notre précepteur, l'un jouait la comédie du noble blessé dans son estime et l'autre renchérissait de bon cœur, rendant chèvre le pauvre homme. Sinon nous faisions le mur lors de nos cours les jours où nous n'étions pas d'humeur à travailler, on allait disparaitre dans l'une des nombreuses cachettes que comptait le château. Malheureusement, Père nous découvrit un jour à notre plus grand dam, celui-ci nous força à avouer l'emplacement de nos divers refuges de jeux.
En Italie, les familles nobles se battent encore et toujours pour le contrôle des régions et particulièrement la Toscane. Vers l'age de 8 ans, on nous prépara à affronter dans un futur proche les petits bataillons des autres familles puissantes, l'enjeu était de taille, il fallait repousser les ennemi en situation d’invasion et/ou réussir à conquérir la terre des vaincus. Néanmoins, cet événement extrême n'était qu'effectif seulement si les négociations entre les chefs de famille appelés aussi les "Grands" n'arrivaient pas à un accord concluant. Lorenzo et moi avions la même force même si je le dépassait par rapport à la rapidité de mes coups, nous étions très attentifs lors des cours d'escrime que nous trouvions fort plaisant. Nous prenions plaisir à nous battre amicalement entre nous et découvrir notre style de combat. Nous excellions dans les disciplines de combat et de sport, Père nous félicitaient pour notre combativité et voyait en nous un espoir d'asseoir son autorité parmi ses adversaires.
Je me souviens d'un moment marquant de mon adolescence, j'avais à peine 15 ans mais je me trouvais déjà sur un mini champ de bataille. Quelques mois auparavant, la famille de' Médici nous avait reconnu comme membres essentiels même si leur regard n'étaient tourné qu'à l'égard de Lorenzo. Nous étions opposés à la famille des Pazzi, l'affrontement faisait rage, notre sang bouillonnait au rythmes des coups d'épées et l'envie d'abattre notre concurrent gonflaient notre courage. J'aurais pu avec mon cher frère faire usage de nos pouvoirs de nymphes, toutefois, Père nous avait formellement interdit l'utilisation de ceux-ci en plein combat. La famille De' Medici tenait à garder confidentiel notre secret et notre loyauté envers le code de la chevalerie. Le général commandant l'armée adverse fit une brèche dans nos lignes à lui tout seul, téméraire et inattentifs aux inquiétudes de Lorenzo, je me lançais dans un duel avec ce combattant de renom. Je me rendis vite compte que le duel était en ma défaveur, je voulais montrer à tous mes compétences alors que j'étais l'une des moins expérimentés malgré mes talents d'épéiste. Il réussit à me faire un croche-pied alors que j'étais concentrée sur les mouvements de son épée, riant de mon infortune et de mon audace de paraitre devant lui, il m'entailla la joue d'un coup sec avec son arme. Heureusement, Lorenzo ainsi que notre propre général vinrent à mon secours, le tuant avec une certaine difficulté. A la fin du combat, je me retirais dans ma chambre honteuse de ma défaite si facile, pendant que mon honneur en était sali à jamais. Lorenzo entra dans ma chambre à coucher quelques heures plus tard pour m'informer du programme de demain et surtout me réconforter en me rassurant que Père ne m'en voudrait pas et qu'au contraire, il était inquiet.
Un an plus tard, nous entrâmes tous deux dans un lycée anglais fort réputé du nom de Oxford, les études durant plus de trois ans, nous étions soulagés d'être éloigné de la famille à moyen terme. C'est à partir de cette époque que je me trouvais un passetemps avec les garçons, accroissant mon pouvoir de séduction, je m'amusais beaucoup avec mes camarades. Pas que je sois l'une de ses filles tombant tout le temps amoureuse, non plutôt, une joueuse aimant profiter de la chaleur masculine. Lorenzo était tout aussi convoité par les demoiselles, il n'avait pas besoin d'user de ses pouvoirs pour envouter toutes les filles du lycée. Je m'apercevais lentement que mes pouvoirs étaient plus approfondis que ceux de mon frère sans doute car je les utilisais plus souvent que lui tandis qu'il se concentrait sur les études et le sport.
Un jour, que j'étais dans la serre de l'établissement pour m'occuper bénévolement des plantes, un sentiment étrange m'envahit, j'imaginais dans une sorte de vision être une guerrière qui protégerait la lumière et la vie lors d'une grande guerre. Je repris connaissance quelques minutes plus tard, cette sensation me parcourant encore l'échine, je ne comprenais pas la signification de cet aperçu. Je fis des recherches de mon coté sans en parler à mon jumeau avec qui je partageais pourtant tout, j'avais trop peur qu'il se moque de moi. Je découvris par un grand hasard une communauté secrète nommée "les guerriers de Lumière", je me renseignai un maximum au point de m'entretenir avec l'un de ses membres. Je compris de suite que ce n'était pas un humain ordinaire, une intuition peut-être, en tout cas, il me mit assez vite en confiance, ce qui était assez déroutant pour une solitaire telle que moi. Finalement, après quelques discussions avec cet homme, j'adhérai au mouvement sans que personne le sache même pas Lorenzo.
Lorenzo...mon cher frère, j'aurais aimé continuer à vivre à tes cotés pendant très longtemps, mon amour fraternel est tel que je ferais tout pour te donner le bonheur que tu mérites. C'étaient les paroles que je lui soufllais à chaque fois, le soir quand j'étais dans ses bras tiédis par l'effort, malheureusement, nos parents ne le voyaient pas d'un bon œil. Il avait des desseins pour Lorenzo même si celui-ci n'était pas d'accord pour leur obéir au doigt et à l’œil. Ils décidèrent alors de m'envoyer dans un établissement spécial, un lycée mais pour les monstres, leur prétexte était que je devais aller améliorer mes pouvoirs là-bas et de faire naître une certaine influence. En fait, une lettre m'était adressée pour rejoindre ce lycée mais ces vicieux s'étaient appropriés celle-ci hors de mon sillage et désormais qu'il avait une opportunité de se débarrasser de moi, ils ne tergiversèrent pas à mettre devant le fait accompli. N'ayant aucun moyen de m'échapper de leur emprise alors même que j'étais majeure, je partis maussade loin de mon tendre frère pour étudier au Lycée Yokai.
Bien évidemment, on m'y avait envoyé de force et en pleine année autant dire que j'étais mal à l'aise d'être la nouvelle de quatrième année. Je n'étais pas très sociable au début, ignorant les moqueries des anciens élèves devant se connaitre depuis un bon moment. Cependant, un camarade du nom de Kirito n'hésita pas à braver mon sale caractère, nous nous liâmes petit à petit d'amitié. Il m'aida rapidement à me repérer, nous évoquions parfois notre passé. Quelques semaines, plus tard une lettre me fut apportée par un élève, celle-ci venait de la directrice, suspicieuse de son contenu, je l'ouvris en plein cours trop impatiente de savoir ce que l'on me voulait. La lettre m'informait que si je le désirais, un post au comité de sécurité, un organisme d'élève protégeant la sécurité de ceux-ci, était libre et que donc il m'était possible de l'avoir. Je ne mis pas quelques secondes pour répondre favorablement à cette proposition, après tout, la vie de lycéenne était ennuyeuse malgré mes passetemps, me battre était une bonne idée pour que je puisse m'épanouir dans ce monde remplit de monstre.
Pouvoirs
Maitrise de la Flore: Ma capacité de protectrice de la nature, m’octroie la possibilité de faire naître et de contrôler la vie végétale, selon ma volonté. Malgré tout, je ne suis pas Dieu, de ce fait je ne peux pas créer une nouvelle plante de toute pièce, limitant mon répertoire à la flore existante.
Pouvoir d'invisibilité: J’ai la chance de maitriser une magie hautement convoitée, en effet je possède la capacité de me rendre invisible. Afin de réussir cet exploit, je réfracte les rayons de n'importe quelques types de lumière, me dissimulant aux yeux de tous. Ceci dit, comme tout à chacun, j’ai mes limites et ne peux rester indétectable durant trois heures. Je peux également transférer mon pouvoir à une personne ou un objet, mais cela requiert beaucoup plus d’énergie, réduisant ainsi la durée en fonction de la taille et du poids de la cible.
Pouvoir de séduction par le chant: Nous, les nymphes sommes cousines des sirènes sur un aspect particulièrement dangereux pour la gente masculine. Notre chant possède un pouvoir envoutant qui ne laisse indifférent aucun mâle, rendant leur esprit particulièrement malléable à la suggestion ainsi qu’à l’obéissance. Cela dit, notre pouvoir n’est d’aucune utilité chez les femmes, après tout, nous sommes bien plus fortes mentalement que ces messieurs. Cependant, je ne peux charmer qu'un à deux individus à la fois au risque de perdre le contrôle sur tous, si j’essaye d’aller au delà.
Behind the screen | Prénom ou Pseudonyme : Millia
Age : 21 ans
Que pensez-vous du forum ? : Il m'a l'air très sympa :)
Comment as-tu connu le forum ? : Par certains membres :3
Quel est le code du règlement ? :
|
Dernière édition par Millia De Medici le Lun 1 Juin - 23:35, édité 12 fois |
|
