Une balade du lion blanc

Léon avait fini de travailler, le cours d'aujourd'hui, c'était bien passé, aucun élève à perturber son cours. Le jeune professeur faisait cours que le matin et il avait l'après-midi pour lui tous seul. Alors il retourna chez lui pour prendre une douche et changer ses habits.
D'abord, le lion blanc était parti mangé dans un restaurant, c'était un habitué, il avait commandé comme d'habitude, le jeune, c'était bien régalé. Il avait mangé un rôti grillé et pour le désert, il commandé des kiwis car il aimait bien.
Le professeur sortis du restaurant, il faisait très beau, le soleil brillé.
Le lion blanc se demandait ce qu'il allait faire, alors il décida d'aller au parc pour lire un livre et se transformer en lion pour se sentir libre.
Léon aimait bien se transformer, car ça lui donne la sensation de fuir les problèmes du quotidiens. Quelques fois, il pensait tout plaquer et vivre ce vie en profitant de ce vie à fond. Léon s'amusait déjà, mais il aimerais s'amuser tous les jours.

Quelques minutes plus tard, le jeune professeur était arrivé au parc, au début, il commença à lire un livre sur un arbre. Il arrivait à avancer son livre, le jeune homme senti l'air assez doux qui lui caresser le visage. Léon avait fermé son livre, il décendait de l'arbre et se transforma en lion, il restait 6 heures sur cette forme. Il se balader dans le parc, mais il faisait attention pour pas qu'on le voit. Il s'allongea sur l'herbe et il s'était endormi.
Quelques heures plus tard, il se réveilla et il était sur sa forme humain. Ce qui était bien dans sa transformation, c'est qu'il gardait ses habits.
Léon marcha tranquillement, il était arrivé dans les rues de la ville, il n'y avait pas beaucoup de monde.

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Une balade du lion blanc

Léon marchait en regardant le paysage, avant de rentrer chez lui, le jeune professeur avait décidé de s'assoie dans un endroit paisible pour pouvoir lire son livre tranquillement et il voulait aussi voir le couché du soleil. Il sentait le vent doux qui lui caressé le corps. Le jeune homme avait vu un banc, alors il était allé rapidement s’asseoir sur le banc tranquillement. Il s'était rendu compte qu'une fille était assise sur un autre banc, mais il ne fait pas attention à elle, car pour lui ce n'était pas très respectueux de regarder les inconnus. Il se mettait tranquillement sur un banc et il commençait à lire son roman.
 Il était contant de profiter de ce moment de tranquillité, soudain des personnes assez bizarre, c'était approché de la jeune fille. Léon pensait que les deux hommes voulaient la draguer, même si le mauvais chose c'était d'aller voir une fille seule, mais en détournant le visage, il avait vu que les deux homme portaient des armes blanches. 
Quand il était au niveau de la jeune fille, il avait crié que la jeune fille les suit sans poser de question. Léon ne supportait pas les personnes qui agissaient de la sorte, alors il se leva rapidement pour donner un coup-de-poing à un voyou, l'autre malandrin avait planté son couteau sur le genou de Léon, il ressentait une grande douleur. Le malandrin retira son arme, il voulait donner un deuxième coup au jeune homme, ce dernier invoqua une épée pour contrer son coup et il le désarma assez facilement. 
Ensuite, le jeune homme avait mis des coups-de-poing sur le visage du voyou, ce dernier tomba par terre et le professeur avait mis son épée à travers la gorge. Il était dans une colère noire, le jeune homme n'allait pas le tuer.

- Tu vas partir de suite avec ton ami sale voyou !

Le voyou rigolait comme en voyant son ami qui allait s'attaquer à la jeune fille, le jeune professeur détourna les yeux et le voyou profita de cette instant pour se relever et il voulait se battre contre Léon, ce dernier le désarma une deuxième fois puis il le frappait avec le côté pas tranchant de son arme qui le faisait basculer par terre et il lui avait mis plusieurs coup de pied au visage. Le lion attrapa le voyou par son cou et il le lâcha pour partir. Le jeune homme ne pouvait plus rester debout alors il s'assoie et se retournait pour voir la jeune fille.

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Une balade du lion blanc

Léon avait mal au genou, mais il n'aimait pas se sentir faible, alors il cachait sa douleur. C'est un lion blanc, alors il devait montrer que c'était le plus fort. Le jeune professeur avait vu que la jeune femme avait tranché le bras de l'homme, il ne comprenait plus rien. Pourquoi cette jeune femme avait tranché le bras de l'homme, le lion blanc avait cru qu'elle allait tuer se voyou, mais elle lui avait simplement lancé une menace et il était parti très loin. Quand elle avait coupé sa main, le professeur avait reçu un peu de sang de l'agresseur. Léon regardait sa blessure, elle était superficielle, il devait la désinfecter et il faut arrêter que le sang qui s'écoule de la blessure. Léon regardait sa blessure, elle était superficielle, il devait la désinfecter et il faut arrêter que le sang qui s'écoule de la blessure. la jeune femme avait mis un bandage, il la regard en souriant.


- Vous allez bien? Vous auriez pas du vous en mêlez, vous êtes blessé maintenant, faudra aller soigner ça vous savez.

Léon ne comprenait pas pourquoi elle lui avait demandé s'il allait bien car il était blessé, mais il avait vu qu'elle s'inquiétait pour lui alors il lui sourit en la regardant.

- La blessure me fait mal, vous avez raison, il faut soigner la blessure pour pas qu'elle s'infecte. Ne vous inquiétez pas, je ne peux pas supporter le fais de ne pas agir quand une personne se fait agresser. Je trouve que c'était assez radical du fait de lui trancher le bras, je sais qu'ils mériteraient d'être enfermé, mais peut être que c'est mon côté trop gentil qui ne veut pas faire du mal aux personnes. Car je pouvais leur trancher la tête assez facilement, je ne voulais pas les maîtriser sans les blesser gravement.


Léon se gratte la tête et voit qu'il parlait beaucoup et que son discours pouvait être mal pris. 

- Je suis désolé si je parle beaucoup et si je vous êtes vexé avec mes mots, mais je voudrais vous remercier.

Le jeune homme tenta de se lever, il invoqua une épée pour pouvoir se lever et il l'utilisa comme une canne, il était devant la jeune femme et il souriait.

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